Passation de marché : le taux d'appel d'offre estimé à 96%
Photo : La séance de travail. Retrouvez-nous sur Google+
Depuis l'instauration du nouveau code de marché en 2009, ce système parait efficace et outillé. Les maîtres d'ouvrage ont bien maîtrisé la technique d'appel d'offre et les différents soumissionnaires savent comment mettre en place un appel d'offre
Le directeur général du contrôle des marchés, Jean Didier Elongo, s'est dit satisfait de cette performance. Il s'est exprimé devant une délégation du Fonds monétaire international (FMI) conduite par Maximilien Queyranne, venue se rendre compte du fonctionnement de la chaîne de la dépense publique.
« Notre système de passation de marché a connu une revue analytique. Nous sommes partis du 100% de gré à gré à 96% d'appel d'offre. Notre rapport de l'année le prouve, et je pense que le taux va augmenter », a-t-il déclaré.
Et Maximilien Queyranne de relever qu'au début de ce nouveau système, les Congolais rechignaient à cette nouvelle méthode. Il semble qu'actuellement le procédé soit entré dans ses habitudes. L'appel d'offre est devenu la règle générale. « Il y a beaucoup d'investissement qui se font. La visibilité de l'investissement est notre cheval de bataille. Un système de ce genre, il faut veiller au peigne fin pour qu'il n'y ait pas de dissident. De manière schématique, la procédure est respectée », a conclu Jean Didier Elongo.
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